Les tags sont le plus souvent des signatures qui se répètent plusieurs fois sur différentes surfaces.
Les monuments et les bâtiments publics, mairies, écoles, gares, sont les surfaces les plus appréciées des tagueurs. C’est par le risque que prend le tagueur à réaliser son dessin que le tag prend toute sa valeur.
Premièrement, les tagueurs peuvent se mettre en danger physiquement parce que les lieux qu’ ils préfèrent sont inhabituels ( des gares où ils sont trop proches des trains ; des tunnels ; sur les murs d’ immeubles dans les quartier pauvres…)
Deuxièmement , le tagueur peut se faire prendre par la police, parce que c’est illégal. Il risque des amendes et d’aller en prison.
Les jeunes dessinent sur les murs pour s’exprimer . Ils utilisent des bombes de peinture et dessinent sur les murs, des fois pour écrire, des fois pour dessiner. D’ autres emploient les bombages pour marquer leur bande. Les tags sont presque partout : dans les gares, le métro, les rames de train, et aussi plein d’ autres endroits comme les palissades de chantier, les murs, les bancs, les cages d’ escalier des immeubles…ce sont surtout les jeunes de 15 et 20 ans qui font des tags et des graffitis.
Le rap (style de musique) et le hip hop(style de danse) sont reliés à l’art urbain( tag, graffiti).
in Cyberechos.creteil.iufm.fr
quarta-feira, 13 de fevereiro de 2008
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